• Quelques fois je me demande, où j'en suis et dans quel but. Certaines choses me font penser à un dégoût total du genre humain. Les gens m'écoeurent, surtout ceux qui ne font rien pour être aimé. Je ne vois l'intérêt si ça n'est que des sales vauriens. Je n'aime pas parler aussi crûment mais il en vaut mieux quelques fois car c'est vrai et que ça ne sera pas inchangé depuis des lustres.

    Je déteste le genre humain et certains me le rendent très bien. Si je le pouvais, je cracherais mon dégoût profond aux yeux des gens.

    Qu'est-ce qu'il me fait dire autant de choses, le mépris de relations qui n'en valent plus la peine ou qui n'ont jamais existé.

    Cela me fatigue au plus haut point !


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  • S'il y a  quelque chose que je dirais bien tout haut mais qui ne peut pas se crier sur tous les toits. C'est ceci : Ca leur apprendra quelques fois, de ne pas toujours avoir ce que l'on veut. "Je l'ai, je le garde, je l'aime ! "

    Et que l'on me dénigre, cela m'est complètement égal. Comme qui dirait chacun sa merde !

    En gros, je traduis: ce qui me passe au dessus de la tête à du 100 à l'heure, ce sont les écervelées ...

        • Qui se croient supérieures car elles ont 1 ride.
        • Qui à leurs yeux, j'ai "l'air bien débauché" et qui d'un côté, je me dis tant mieux, plutôt que de  leur ressembler
        • Qui ne pensent pas plus haut que leurs bras, il faut dire que c'est difficile de les lever tous les deux
        • Qui tant mieux restent seules et  ronchonnent dans leur coin, elles m'emmerderont moins
        • Qui croient que les autres sont sans pitié
        • Qui jugent encore et toujours
        • Qui sont basses, très basses
        • Qui me déplaisent au plus profond de par leur comportement d'empotée monumentale (et c'est encore légèrement gentil)

    Suite à cela, je me dis:" j'ai découvert un petit dom merveilleux et que je compte bien le châtoyer et le garder."

    Qu'elles soient jalouses, tant mieux, ça ne fait pas de mal. Tant mieux pour mon égo et le leur.


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  • Ils ne manquaient plus que les doutes et compagnie. Je passe pourquoi après, je devrais arrêter de tout dire et me taire, ce qui me ferait le plus grand bien à moi et à tout le monde mais surtout à moi ! Je ne dirais plus rien car n'étant pas très sûre de moi pour certaines choses, je devrais arrêter de les montrer, ce qui peut faire ma faiblesse et que l'on s'en serve ensuite pour les souligner, ce qui n'est pas forcément dans un but négatif.

    Il est vrai que j'aime parler, parler, parler, parler pas nécessairement sur moi et moi et moi. Non, parler pour me faire entendre, pour combler les vides, pour rire, pour péter un coup, pour m'évader, pour évacuer mon stress, parler pour tout et pr ne rien dire  comme je peux le faire... J'aime assez bien parler, il est vrai (ça me fait sourire grandement)Même quand je suis seule (plutôt quand je suis tracassée ou énervée, je me parle. Plus les années passent, plus j'en apprends sur les gens et  sur moi - même. Plus je me dis, que les gens voient malsain la plupart du temps.  Quand les gens se confient ou parlent de quelque chose, je ne vais pas une poignée de minutes ou un mois après m'en reservir pour mettre mal à l'aise la personne ou pour n'importe quoi que cela soit.

    Pour aujourd'hui, j'ai su y faire face moyennement vôtre. J'ai besoin de combler tous ces doutes qui me hantent, être rassurée, je déteste ce besoin du plus haut point, mais il est plus fort que moi, il est à l'intérieur de moi, il est constant.

    Lorsque ceux-ci sont là, tout est remis en question, les sentiments envers autrui, mes compétences professionnelles, mes comportements dans la société. C'est fou ! complètement, je trouve !  Je fais avec moi et encore moi, on ne saura pas se changer.


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  • Il ne faut surtout pas me contrarier aujourd'hui en cette fin de semaine, d'humeur massacrante. Celle-ci est mi-figue, mi-raisin. Elle est prête à foutre le camp sacrément dit ! Il faut surtout pas me gonfler avec certains domaines.

    Il y a vraiment des cons sur terre, je dis à un gars:" arrête de me gonfler sur ce sujet et passe à autre chose". Il parlait de sexualité. Il s'amusait à faire un jeu de mots, qui selon moi, ne trouvait pas plaisanterie à mon goût.  Alors comme je n'ai pas rigolé, il m'a répondu que j'étais trop petite pour comprendre.(Quoi ces fintes de mauvais goût qui frisent le number one sur la barre de l'absurdité)   Je lui ai dit surtout de ne pas me chercher aujourd'hui car il risquerait de le regretter. Il a continué en insinuant que j'avais vraiment un problème sur ce domaine et que je devais continuer à grandir.

    Je l'ai envoyé boulé et je lui ai dit qu'en aucun cas, ça ne le regardait. La réponse du petit con névrosé :"Je pense que tu as un vrai problème. Il faudrait peut-être consulter qq'un sur ce sujet".  Faites-moi rire ! En gros, ça a une signification très individualiste. J'ai encore été trop gentille mais je tourne avant tout 7 fois ma langue dans ma bouche.

     Je lui ai juste répondu que ce que je faisais avec mon derrière ne le regardait en aucun cas. C'est vraiment malsain de sa part, il croit que quoi, parce qu'il est plus âgé que moi. Les gens m'énervent si j'ai pas envie de parler, je préviens, j'anticipe et je préviens de mes réactions à venir. Il continue sur ce chemin. Il y a vraiment des gens perpet.


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  • Je ne sais pas comment mener ma barque, je ne pense pas qu'elle résistera à la prochaine tempête. Je commence à m'user, à y laisser des plumes, à m'essouffler. J'ai des craintes, beaucoup de doutes.

    Comme quoi les gens n'arrivent pas à tracer une croix sur leur passé aussi facilement  que j'aimerais tourner la page. Cela n'est pas les termes adéquats pour exprimer ça. C'est la seule chose que je n'avais pas encore épinglé à mon actif.

    Au commencement, je trouvais cela si simple et si amusant mais que de coups bas dont j'accuse. 

     J'ai envie de me réveiller et de me sentir plus légère.

    Je déteste le genre humain et ce qu'ils peuvent ressentir, si seulement ils savaient ressentir.


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